Quand le yaourt devient industriel, il perd son âme

Regardez les rayons des supermarchés. Des centaines de yaourts, aux étiquettes prometteuses : “naturel”, “fermenté”, “riche en probiotiques”.
Mais si on regarde un peu plus près, on comprend vite que la plupart ne sont plus vraiment vivants.

Dans la logique industrielle, un yaourt doit pouvoir voyager loin, rester longtemps sur une étagère, supporter les variations de température, sans jamais tourner. Pour y parvenir, on le chauffe, on le stérilise, on y ajoute des conservateurs, des épaississants, des arômes, du sucre. Résultat : le produit tient des semaines, mais les bactéries censées nous faire du bien sont… mortes depuis longtemps.

Un yaourt vivant, c’est fragile. C’est sensible à la chaleur, au temps, à la lumière. C’est un aliment qui respire encore, qui évolue doucement. C’est ce que nous avons voulu préserver avec Fermentée : un produit local, préparé lentement, livré frais, vivant jusqu’à votre réfrigérateur.

Les yaourts industriels, eux, doivent être “parfaits” visuellement, uniformes, avec la même texture et le même goût dans chaque pot. Mais pour atteindre cette perfection, on tue tout ce qui rend un aliment vivant : sa flore naturelle.
Beaucoup de marques parlent encore de “probiotiques”, mais la vérité, c’est qu’après les traitements thermiques et les longs transports, il ne reste parfois que quelques traces de vie.

Chez Fermentée, on préfère faire le contraire. Nos pots sont produits à Blagnac, en petite quantité, sans additifs, et fermentés 36 heures à 36 °C - une température douce, respectueuse des bactéries. Pas de stockage prolongé, pas de voyage à travers le pays. Chaque pot est préparé sur commande, livré directement, dans un sac isotherme, comme un aliment vivant devrait l’être.

Les souches que nous utilisons - Lactobacillus reuteri DSM 17938 et ATCC PTA 6475 - ne sortent pas de nulle part.
Découverte dans les années 1960 par le microbiologiste allemand Gerhard Reuter, cette bactérie a été étudiée dans les plus grands laboratoires du monde : au MIT, au Karolinska Institutet en Suède, au Canada, au Japon…
Elle est reconnue pour sa capacité à renforcer la flore intestinale, à apaiser le système nerveux, à stimuler la production d’ocytocine - l’hormone du lien, du bonheur, de la confiance.
C’est une bactérie rare, aujourd’hui disparue de la plupart des intestins modernes, qu’on ne retrouve presque plus dans les produits industriels.

Un pot de Fermentée concentre environ 300 milliards de bactéries vivantes.
Pour obtenir la même quantité avec des gélules probiotiques du commerce, il faudrait avaler entre 30 et 500 capsules - souvent remplies de poudres sèches, issues de souches partiellement inactives, et conservées pendant des mois dans des entrepôts à température ambiante.

Alors oui, Fermentée, ce n’est pas un produit de masse. C’est un aliment vivant.
C’est aussi une philosophie : celle de remettre le vivant au cœur de notre alimentation, de redonner du sens à la simplicité, de privilégier le frais au durable, le vrai au “marketing”.

Parce que ce que vous mangez devrait nourrir plus que votre corps.
Il devrait nourrir votre microbiote, vos émotions, votre sérénité.
Et surtout - rester vivant, jusqu’à la dernière cuillère.

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